Un nouveau document de recherche, Reconsidering
Fetal Pain, publié courant janvier, dans le Journal of Medical
Ethics, stipule que les enfants à naître peuvent ressentir de la douleur
avant la limite des 24 semaines, ce qui signifie qu’ils souffriraient
physiquement lorsqu’ils seraient avortés.
Il aura donc fallu attendre l’année 2020 pour qu’une étude scientifique
confirme l’évidence !
Les auteurs du texte, chercheurs en médecine, dont l’un s’identifie comme «pro-choix», ont dû admettre qu’« agir (c’est-à-dire pratiquer l’avortement NDRL) comme si nous avons la certitude que le fœtus ne ressent jamais rien de semblable à de la douleur, cela flirte avec l’insouciance morale. »
Suite à la publication de l’étude, le Dr Anthony McCarthy, directeur de recherche au SPUC (Société anglaise de Protection des enfants à naître), a déclaré : « Nous nous félicitons de la réouverture du débat sur la douleur fœtale dans cet important article. Rendre la mort indolore pour la personne tuée ne signifie pas pour autant que la mort est ainsi justifiée. Devrait être offert aux femmes qui ont à juste titre le souci de ne pas causer de douleur à leur bébé, non pas d’autres moyens d’avorter, mais un soutien pour permettre à leur enfant de vivre. »
Rappelons qu’Principio del formulario
en 2018, au Royaume-Uni, 218 518 bébés ont été tués par
l’avortement.
Les enfants à naître sont avortés au nom de n’importe quelle raison jusqu’à la
24 e semaine de grossesse et peuvent ensuite être
légalement avortés jusqu’à et pendant la naissance s’ils sont porteurs d’une
anomalie fœtale.
Final del formulario
Dans son discours, le Dr McCarthy a fait remarquer si justement : « Une société qui prétend se soucier de la douleur animale ne devrait pas reculer face à la douleur infligée aux jeunes êtres humains au nom du » choix « . »
Incohérences et terrible injustice de notre société actuelle…
AdèleCottereau
Photo : fille Droit de Naître droit réservé