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50 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR
LE POST-AVORTEMENT

Avec une annexe sur la fécondation artificielle in-vitro

PRÉFACE

Les conséquences psychologiques de l’avortement, une maladie mentale et sociale : c’est ainsi que nous pourrions résumer la catastrophe qui a frappé notre pays après des décennies d’avortements légalisés.

Cette vérité, bien connue des spécialistes, l’est beaucoup moins du grand public.

C’est pour cette raison que DROIT DE NAITRE a décidé d’interroger le Dr Cinzia Baccaglini sur le post-avortement. Pour rendre cette brochure facile à lire et abordable par tous, nous avons fait le choix de présenter notre échange avec le Dr Baccaglini sous forme de 50 questions et réponses, et avons décidé d’y ajouter un appendice sur la fécondation in vitro.

Tuer son enfant à naître est une tragédie qui affecte non seulement la mère, mais aussi le père, les enfants déjà nés du couple, les grands-parents, les soignants – objecteurs de conscience ou non – et tous les amis ou parents qui ont eu à faire face à la perte d’un enfant, d’un petit-enfant, d’un être humain – désiré par certains, non désiré par d’autres.

Dans sa tentative d’éliminer les obstacles à l’avortement volontaire, la société moderne a répété ad nauseam ce mensonge indispensable: l’embryon n’est pas un être humain, ce n’est qu’un «amas de cellules». Accrochées à ce mensonge, de nombreuses femmes se trompent elles mêmes et pensent pouvoir supprimer le fruit de leurs entrailles sans aucunes conséquences pour leur propre santé mentale.

Avec cette publication, nous voulons montrer la tragédie du post-avortement, ce qui se passe vraiment après l’élimination de l’«amas de cellules». Ces pages ne sauraient nullement épuiser le sujet et n’ont pas la prétention d’être un texte scientifique; mais j’espère néanmoins qu’ils pourront ouvrir ouvrir les cœurs et les esprits de ceux qui ont toujours pensé que l’avortement n’est rien de plus qu’une simple opération chirurgicale comme se faire enlever une dent.

La condamnation de l’avortement doit aller de pair avec l’écoute et le pardon pour les femmes qui, trompées par les mythes des militants de l’avortement, ont été plongées dans un abîme de douleur et de désespoir. Il faut aider ces femmes non seulement à ne pas perdre l’espoir, mais aussi à retrouver le chemin de la vie.

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