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« Mon corps, mon choix », vraiment ?

C’est un slogan tristement connu, colporté par les féministes et pro-avortements de tous bords…

Le “droit” à l’avortement est présenté comme l’une des plus grandes victoires sur le patriarcat, le symbole de l’émancipation féminine. Les femmes auraient recours à l’avortement pour se soustraire à la domination masculine et reprendre le contrôle de leur corps : « un enfant si je veux, quand je veux », « un soin banal », « une simple intervention » sont les maximes fétiches des promoteurs de l’avortement qui ont fini par imposer la sacralisation de celui-ci, dénonce Jeanne Leclerc dans un excellent article publié sur le site du média en ligne L’Incorrect.

Systématiquement présenté comme un « soin sans conséquence », l’avortement a pourtant un envers qui est bien différent du discours officiel, insiste-t-elle.

La journaliste a recueilli les témoignages de femmes qui ont subi un avortement et lui confient leur calvaire. Comme Rose, enceinte à 23 ans, elle voulait mener à terme sa grossesse mais son compagnon s’y était opposé. « Personne ne m’a soutenue, je n’ai entendu que des “tu ne peux pas le garder” », témoigne-t-elle.

Ou encore l’histoire de Julie, enceinte à 20 ans et dont la grossesse a été détectée au bout de 10 semaines. Son témoignage est poignant : « Durant l’échographie, on m’a fait entendre le cœur du bébé et on me l’a montré à l’écran. À ce moment-là, j’ignorais ce que je voulais faire, raconte-t-elle. Mais le fait d’entendre battre son cœur m’a totalement chamboulée ». Envisager l’avortement devient « impossible » pour elle. Mais du côté de son compagnon, c’est « un refus catégorique ».

Finalement, Rose aura eu recours à l’avortement médicamenteux à domicile. On lui avait affirmé qu’« à ce stade c’est juste un amas de cellules », mais ce qu’elle voit est bien différent. Rose « tombe en grave dépression, et pleure nuit et jour durant neuf mois ». Sa deuxième grossesse se solde par une fausse couche. Quand elle tombe enceinte pour la troisième fois de sa vie, « elle contracte le cytomégalovirus, transmissible au fœtus ». Elle décide de garder son enfant, contre l’avis de son entourage et du corps médical qui « font de nouveau pression pour qu’elle avorte, en raison d’un risque de handicap pour l’enfant ». Elle accouchera d’un enfant « en parfaite santé ».

Quant à Julie, elle subira un avortement chirurgical. « Quelques jours après, j’ai fait une hémorragie et cela m’a encore davantage traumatisée », confie-t-elle. Après avoir tenté de se suicider, elle est hospitalisée dans un service psychiatrique. « Durant deux ans j’ai bénéficié d’un suivi psychologique grâce à une association, témoigne-t-elle. Je suis toujours avec mon compagnon de l’époque. Il m’a demandé pardon. »

Ces expériences criantes de vérité décrivent l’exact opposé de la propagande pro-avortement…

                                        Adèle Cottereau

Sources : https://www.genethique.org/avortement-elles-racontent-lenvers-du-decor/

https://lincorrect.org/elles-ont-avorte-elles-temoignent-lincorrect/

Photo: bébé DdN@

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