Une victoire-et pas des moindres-pour la défense de la vie : la justice espagnole vient de condamner la « patronne de l’avortement », qui représentent 28 centres d’avortement en Espagne, l’Association des cliniques accréditées pour l’interruption de grossesse (Asociacion de clinicas acreditadas para la interrupcion del embarazo -ACAI) pour avoir diffusé des publicités mensongères sur son site internet en dissimulant les risques d’avortement.
C’est l’association pro-vie Avocats Chrétiens, (Abogados Crisianos) qui a porté l’affaire devant les tribunaux et qui a fini par emporter la cause. Celle-ci a diffusé un communiqué indiquant les mensonges inadmissibles promulgués par l’ACAI sur son site, comme : « L’avortement n’a pas de conséquences » ; « Il n’y a aucun risque d’infertilité pour avoir un ou plusieurs avortements » ; « L’avortement représente une expérience de maturation pour certaines femmes »… !
Autant d’aberrations que la justice a enfin condamnées, stipulant que « les informations de l’ACAI omettent des informations essentielles concernant les risques du service qu’elles fournissent (essentiellement des conséquences mentales produites par l’avortement), […] nous constatons que cela oblige le consommateur moyen à prendre une décision qu’il n’aurait pas prise autrement. »
La présidente d’Avocats Chrétiens, Polonia Castellanos, se réjouit que « justice a été rendue contre une organisation qui a menti à de nombreuses femmes en les encourageant à avorter comme si elles étaient à l’abri de graves séquelles. »
« Les aides publiques doivent être destinées aux mères qui ont peu de ressources et non aux entrepreneurs de l’avortement qui ne recherchent que de l’argent dans la souffrance d’autrui », a-t-elle conclu.
Photo DdN Marche pro-vie
Adèle Cottereau