« Il faut une fois de plus déclarer avec fermeté que rien ni personne ne peut d’aucune manière permettre le meurtre d’un être humain innocent, que ce soit d’un fœtus ou d’un embryon, d’un enfant ou d’un adulte, d’un vieillard, d’un malade incurable ou d’un mourant. En outre, personne n’est autorisé à demander cette mise à mort pour lui-même ou pour une autre personne confiée à ses soins, ni ne peut la consentir de façon explicite ou implicite. Aucune autorité ne peut non plus recommander ou permettre une telle action de façon légitime.
Car il s’agit d’une violation de la Loi de Dieu, d’un affront à la dignité de la personne humaine, d’un crime contre la vie et d’une agression contre l’humanité ».