L’industrie de l’avortement a de puissants alliés à Hollywood, en particulier chez Disney, pourtant supposé être favorable à la famille, ses films étant destinés aux enfants !
Et ces alliés sont prêts à dépenser des sommes astronomiques pour faire avancer leur propagande pro-avortement.
Un exemple récent : un grand nombre de sociétés de médias, dont Disney, Google et Facebook, se sont associées dans le but de créer des courts métrages pro-avortement, par l’intermédiaire du programme Annenberg Inclusion Initiative (AI2) créé par l’Université de Californie du Sud (USC).
Cette année, AI2 a créé des « programmes accélérateurs » qui accordent des bourses aux étudiants en cinéma, notamment ceux qui sont considérés comme faisant partie de « minorités ». L’un des programmes fera spécifiquement la promotion de l’avortement.
Les étudiants doivent créer un court métrage sur la « santé reproductive » – dont l’avortement – et le Reproductive Rights Acceleratordonnera aux trois étudiants gagnants la coquette somme de 25 000 $ !
Stacy L. Smith, fondatrice d’AI2, a annoncé dans un communiqué qu’elle prévoyait de sortir des films pro-avortement en réponse au succès du mouvement pro-vie ces dernières années.
« Avec la restriction des droits reproductifs, il est non seulement nécessaire de trouver des solutions juridiques pour protéger les communautés marginalisées, mais il est essentiel d’éduquer et d’informer le public sur ces sujets », a-t-elle osé déclarer.
Et la présidente de la Psquared Charitable Foundation, Monika Parekh, de renchérir : « En tirant parti du pouvoir du divertissement, ces étudiants peuvent façonner le cœur et l’esprit de leurs pairs et d’un public plus large de manière à influencer la culture et la prise de décision. »
Sans surprise, l’initiative a “bénéficié” de l’approbation du Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays, le Planning familial américain.
Caren Spruch, directrice nationale de l’engagement des arts et du divertissement pour le Planned Parenthood, a déclaré de son côté qu’elle espérait que ce programme ouvrirait la voie à un changement de vision, vers une culture plus favorable à l’avortement.
Il est clair désormais que le mouvement pro-vie doit se préparer à une guerre culturelle contre l’avortement.
Adèle Cottereau