Scientifiques, ecclésiastiques, militants pro-vie et parents se réunissent lors d’une conférence à Rome le 13 mars pour faire le point sur l’histoire, la science et la politique entourant l’ignoble utilisation de fœtus avortés dans les vaccins administrés aux enfants du monde entier.
C’est ce que révèle le site anglophone LifeSiteNews dans un article publié le 11 mars 2019.
LifeSite s’est entretenu avec l’un des organisateurs et fondateurs de l’association Renovatio 21, Cristiano Lugli, qui explique que « cette conférence a été inspirée par l’un des principaux objectifs de Renovatio 21: lutter contre l’obligation de vacciner nos enfants avec des vaccins produits à partir de lignées cellulaires de fœtus avortés. La question est très importante, à la fois pour des raisons morales et scientifiques. »
Il dénonce : « Nous savons que de nombreux avortements continuent
d’être pratiqués aujourd’hui. Cela a été confirmé par l’un des plus grands
pionniers de la vaccination : le Dr Stanley Plotkin, médecin et consultant de
Sanofi-Pasteur, qui a indiqué en janvier 2018 que 76 fœtus avortés étaient
utilisés dans une seule étude de recherche pharmaceutique sur les vaccins. Au
cours de l’interview, il a admis avoir « agis contre les croyances
religieuses », et a osé affirmer qu’il serait « heureux »
d’aller en enfer pour avoir utilisé des « tissus avortés » dans les
vaccins » !!!
Quant aux « sociétés pharmaceutiques, elles justifient cette ‘nouvelle barbarie du cannibalisme biologique’ – comme l’appelait à juste titre Mgr Schneider dans une déclaration bénissant notre réunion – en affirmant que ‘seulement quelques’ fœtus étaient utilisés pour mener des recherches scientifiques pour la santé mondiale (…) Ce raisonnement est moralement inacceptable: le caractère sacré de la vie humaine ne saurait être mis en second lieu par rapport au progrès de la science », rappelle-t-il avec force.
Comble de l’ignoble, pour produire de
‘bonnes’ lignées cellulaires, Cristiano Ludgi précise qu’ « il est
nécessaire que les fœtus soient en très bonne santé et qu’ils soient pris vivants,
avec les organes intacts » !!
Alors, « comment est-il possible que les parents ne puissent pas refuser
d’inoculer à leur enfant un vaccin obtenu et produit par un acte gravement
illicite tel que l’avortement ? », s’indigne Mr Ludgi.
Il conclut : « Le problème est malheureusement international, car les vaccins deviennent obligatoires partout et sont produits par les mêmes sociétés pharmaceutiques dans chaque État (…) Notre espoir et notre objectif sont d’éveiller les consciences et d’envoyer un message clair et fort aux institutions catholiques. » Adèle Cottereau
Scientifiques, ecclésiastiques, militants pro-vie et parents se réunissent lors d’une conférence à Rome le 13 mars pour faire le point sur l’histoire, la science et la politique entourant l’ignoble utilisation de fœtus avortés dans les vaccins administrés aux enfants du monde entier.
C’est ce que révèle le site anglophone LifeSiteNews dans un article publié le 11 mars 2019.
LifeSite s’est entretenu avec l’un des organisateurs et fondateurs de l’association Renovatio 21, Cristiano Lugli, qui explique que « cette conférence a été inspirée par l’un des principaux objectifs de Renovatio 21: lutter contre l’obligation de vacciner nos enfants avec des vaccins produits à partir de lignées cellulaires de fœtus avortés. La question est très importante, à la fois pour des raisons morales et scientifiques. »
Il dénonce : « Nous savons que de nombreux avortements continuent
d’être pratiqués aujourd’hui. Cela a été confirmé par l’un des plus grands
pionniers de la vaccination : le Dr Stanley Plotkin, médecin et consultant de
Sanofi-Pasteur, qui a indiqué en janvier 2018 que 76 fœtus avortés étaient
utilisés dans une seule étude de recherche pharmaceutique sur les vaccins. Au
cours de l’interview, il a admis avoir « agis contre les croyances
religieuses », et a osé affirmer qu’il serait « heureux »
d’aller en enfer pour avoir utilisé des « tissus avortés » dans les
vaccins » !!!
Quant aux « sociétés pharmaceutiques, elles justifient cette ‘nouvelle barbarie du cannibalisme biologique’ – comme l’appelait à juste titre Mgr Schneider dans une déclaration bénissant notre réunion – en affirmant que ‘seulement quelques’ fœtus étaient utilisés pour mener des recherches scientifiques pour la santé mondiale (…) Ce raisonnement est moralement inacceptable: le caractère sacré de la vie humaine ne saurait être mis en second lieu par rapport au progrès de la science », rappelle-t-il avec force.
Comble de l’ignoble, pour produire de
‘bonnes’ lignées cellulaires, Cristiano Ludgi précise qu’ « il est
nécessaire que les fœtus soient en très bonne santé et qu’ils soient pris vivants,
avec les organes intacts » !!
Alors, « comment est-il possible que les parents ne puissent pas refuser
d’inoculer à leur enfant un vaccin obtenu et produit par un acte gravement
illicite tel que l’avortement ? », s’indigne Mr Ludgi.
Il conclut : « Le problème est malheureusement international, car les
vaccins deviennent obligatoires partout et sont produits par les mêmes sociétés
pharmaceutiques dans chaque État (…) Notre espoir et notre objectif sont
d’éveiller les consciences et d’envoyer un message clair et fort aux
institutions catholiques. »
Adèle Cottereau
Scientifiques, ecclésiastiques, militants pro-vie et parents se réunissent lors d’une conférence à Rome le 13 mars pour faire le point sur l’histoire, la science et la politique entourant l’ignoble utilisation de fœtus avortés dans les vaccins administrés aux enfants du monde entier.
C’est ce que révèle le site anglophone LifeSiteNews dans un article publié le 11 mars 2019.
LifeSite s’est entretenu avec l’un des organisateurs et fondateurs de l’association Renovatio 21, Cristiano Lugli, qui explique que « cette conférence a été inspirée par l’un des principaux objectifs de Renovatio 21: lutter contre l’obligation de vacciner nos enfants avec des vaccins produits à partir de lignées cellulaires de fœtus avortés. La question est très importante, à la fois pour des raisons morales et scientifiques. »
Il dénonce : « Nous savons que de nombreux avortements continuent
d’être pratiqués aujourd’hui. Cela a été confirmé par l’un des plus grands
pionniers de la vaccination : le Dr Stanley Plotkin, médecin et consultant de
Sanofi-Pasteur, qui a indiqué en janvier 2018 que 76 fœtus avortés étaient
utilisés dans une seule étude de recherche pharmaceutique sur les vaccins. Au
cours de l’interview, il a admis avoir « agis contre les croyances
religieuses », et a osé affirmer qu’il serait « heureux »
d’aller en enfer pour avoir utilisé des « tissus avortés » dans les
vaccins » !!!
Quant aux « sociétés pharmaceutiques, elles justifient cette ‘nouvelle barbarie du cannibalisme biologique’ – comme l’appelait à juste titre Mgr Schneider dans une déclaration bénissant notre réunion – en affirmant que ‘seulement quelques’ fœtus étaient utilisés pour mener des recherches scientifiques pour la santé mondiale (…) Ce raisonnement est moralement inacceptable: le caractère sacré de la vie humaine ne saurait être mis en second lieu par rapport au progrès de la science », rappelle-t-il avec force.
Comble de l’ignoble, pour produire de
‘bonnes’ lignées cellulaires, Cristiano Ludgi précise qu’ « il est
nécessaire que les fœtus soient en très bonne santé et qu’ils soient pris vivants,
avec les organes intacts » !!
Alors, « comment est-il possible que les parents ne puissent pas refuser
d’inoculer à leur enfant un vaccin obtenu et produit par un acte gravement
illicite tel que l’avortement ? », s’indigne Mr Ludgi.
Il conclut : « Le problème est malheureusement international, car les
vaccins deviennent obligatoires partout et sont produits par les mêmes sociétés
pharmaceutiques dans chaque État (…) Notre espoir et notre objectif sont
d’éveiller les consciences et d’envoyer un message clair et fort aux
institutions catholiques. »
Adèle Cottereau
Source : https://www.lifesitenews.com/news/rome-conference-to-discuss-use-of-aborted-fetuses-in-vaccines
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