Un scandale vient d’éclater Outre-Atlantique : le Planned Parenthood a reconnu recourir à des pratiques interdites lors des avortements, à des fins mercantiles.
Dans une nouvelle vidéo publiée le vingt-quatre août dernier par le Centre for Medical Progress (CMP), des responsables du Planned Parenthood « témoignent sous serment », décrivant « comment les avorteurs modifient les procédures afin de récupérer des fœtus humains en meilleur état et, par conséquent, des tissus et organes fœtaux susceptibles d’être vendus avec un plus grand profit financier ». Abominable.
Les médecins de la vidéo admettent pratiquer fréquemment des avortements par naissance partielle, ce qui leur permet d’obtenir des tissus fœtaux moins abîmés qu’après un avortement par démembrement. Cette pratique est complètement illégale, le « fœtus est extrait vivant et intact de l’utérus pour être ensuite tué au cours de l’accouchement ».
Pour ce faire sans poursuites judiciaires, les médecins profitent d’un vide juridique : ils inscrivent « dans le dossier médical de la patiente que le médecin avait l’intention de pratiquer un avortement par démembrement du fœtus ». Une déclaration d’intention « de routine », « une simple case à cocher » !
Dans ces conditions, la vente de fœtus entiers et intacts est possible.
Une autre pratique illégale fréquente consiste à « utiliser l’échographie pour retourner la position d’accouchement d’un fœtus ». L’objectif étant toujours « d’obtenir des organes en meilleur état ».
La criminalité dans l’industrie nationale de l’avortement financée par les contribuables américains continuera de se répandre à moins que les autorités fédérales ne les tiennent responsables une fois pour toutes. Le plus rapidement possible.
Adèle Cottereau
Photo drapeau Nord Américain